• Au delà de mes rêves les plus fous !!!

    Je ne l’ai pas vécu moi-même, je l’ai réalisé pour mon mari. Lui qui déploie des tonnes d’énergie et d’imagination pour m’organiser des jolies soirées avec des hommes, il était temps qu’à mon tour je lui organise une surprise.
    La tâche n’est pas aisée car les femmes seules sont moins nombreuses sur le site, elles sont prudentes voire méfiantes. Je veux pour les offrir à mon mari qu’elles soient belles, séduisantes, sensuelles, intelligentes, cultivées… Oups c’est beaucoup ! Cette fois ci pour que la surprise soit totale, je décidais de rajouter une contrainte supplémentaire : que cette femme lui soit inconnue.

    Pour vérifier l’adage « les amis de mes amis sont mes amis » je décidais de contacter un couple connu par nos connaissances. Partir à l’aventure avec un couple inconnu est toujours délicat, mais j’étais pleinement rassurée car nos amis ne tarissaient pas d’éloges sur eux. Notre connaissance commune nous donnait confiance à tous les trois.
    Mon plan machiavélique les séduit aussitôt. Très joueurs, ils étaient prêts à attendre mes instructions. Un feeling immédiat s’installa entre nous, l’idée d’être « à disposition » les excitait déjà. Les longs mois de confinement nous permirent de peaufiner notre scénario. Mon chéri savait que je préparais une surprise mais ignorait quelle forme elle prendrait.

    Un soir, je lui montrais une photo d’Elle. Fanny était à genou sur un lit, les pointes de ses seins inondées de lumière, ses doux cheveux roux tombant sur ses épaules, elle portait une petite culotte noire, qu’elle tirait légèrement sur le coté laissant entrevoir son intimité. Elle était d’une sensualité torride, si naturelle et si désirable. J’annonçais fièrement « voici ta surprise ! » ses yeux ressemblaient à ceux des personnages de dessins animés quand ils sortent de leur orbite. Nous partagions enthousiasme et excitation dans la préparation de ce cadeau. 

    Nous étions maintenant deux à ficeler les derniers détails son mari Jules et moi. Nous avions choisi la date, l’hôtel et un joli scénario où Fanny serait soumise aux désirs de mon chéri. J’écrivais « surprise » sur le calendrier familial, la date était fixée ! Jules me proposa que nous passions nous aussi la soirée ensemble, nous avons décidé d’un pique-nique champêtre pendant que nos chéris s’ébattraient dans la chambre d’hôtel. C’était inédit, nous allions pouvoir partager nos ressentis ensemble. Je réalisais que je venais de réserver un hôtel pour que mon mari baise une femme magnifique pendant que je pique niquerais avec son mari, c’était ahurissant et le pire c’est que cela m’excitait !

    Je fantasmais cette rencontre telle que j’aurais aimé la vivre : soumise et dominée. Fanny attendrait mon mari en lingerie, à genoux, sur le lit, les mains liées et les yeux bandés. Elle était prête à être menée, malmenée, fessée et à obéir. Jules décrivait les envies de sa femme avec une tendresse émouvante. C’était étrange de ressentir leur amour si fort derrière cette description si fabuleusement crue qu’il faisait d’Elle. Cette soirée s’annonçait mémorable.

    La veille, j’envoyais une dernière photo d’Elle à mon chéri. Elle était nue à genoux sur un fauteuil, elle se penchait pour regarder à la fenêtre offrant avec délice ses fesses magnifiques. Un petit message l’accompagnait : "Voici ta surprise mon amour, j’ai envie que tu la baises bien comme tu sais si bien le faire, que tu passes un délicieux moment avec elle et que tu reviennes tout me raconter, je t’aime à la folie." La tension montait, l’évocation de la surprise nous valut de nombreux orgasmes.

    Le grand soir était arrivé. Jules avait installé Fanny, elle attendait seule, son soutien-gorge laissait entrevoir ses seins magnifiques, son porte jarretelle dévoilait ses fesses galbées, ses jambes sublimées par des bas noirs, sa chevelure rousse flamboyante, un bandeau sur ses yeux, des menottes aux poignets, une perle de beauté, un charme de folie, juste sublime ! J’embrassais une dernière fois mon mari et je rejoignais Jules, nous étions tous au comble de l’excitation. Sur un banc public, un joli pique-nique au vin rosé nous attendait Jules et moi. Nous étions en totale harmonie, dans un pur moment de partage et d’émotions. L’un et l’autre, nous connaissions la cavalcade d’émotions engendrée par le fait d’offrir son conjoint : la joie, la tristesse, l’excitation, la jalousie, l’euphorie, l’abandon… Un ascenseur émotionnel infernal mais tellement jouissif. Nous étions emportés par une discussion passionnée et passionnante, nous avions tellement de choses à nous raconter ! M’asseoir sur un banc deux heures avec lui fut un délice. Puis un message arriva : ils nous attendaient ! Nous avions hâte de les retrouver. Ils étaient assis tous les deux sur le lit, presque nus dans les effluves de parfum et de luxure, ils étaient rayonnants de plaisir. Je contemplais Fanny si diaboliquement sexy avec ses courbes de folie. Nous partagions un dernier verre tous les quatre et je pouvais enfin me glisser à mon tour dans les draps avec mon mari. Je suis si perverse que j’aime par-dessus tout retrouver l’homme que j’aime dans le lit même où il a succombé avec une autre femme. Cette femme si terriblement excitante, qui avait laissé exprimer son envie de soumission et son désir de jouissance. Mon mari transporté dans son jeu de domination et mon imagination lubrique pour une nuit suspendue entre l’espace et le temps, un moment rare.

    Il était parti vers l’inconnu, je le retrouvais des étoiles plein les yeux et je me délectais du récit de leurs jouissances.


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  • Nous avons rendez vous dans une chambre d'hôtel où j'arrive la première. Mais tu as préparé sur le lit un foulard pour que je bande mes yeux. Tu m'as demandé de porter une jupe, des bas, des bottes et un chemisier sans soutien gorge. Je bande mes yeux et je t'attends au milieu de la chambre. Je suis pleine d'impatience, d'anxiété, de désir et d'excitation.
     

    Quand la porte s'ouvre, je sais que c'est toi, ma respiration s'accélère et mon coeur bat plus vite. Je sens ta présence et cette attente m'angoisse délicieusement. Tu t'approches et tu lies mes mains devant moi. Tu commences à jouer avec mes cheveux, à caresser mes épaules, ma nuque, à descendre tes mains le long de mon dos, à emprisonner ma taille, à suivre ma jupe, puis mes jambes jusqu'à mes chevilles, d'où tu repars pour de langoureuses caresses remontant sous mes vêtements. Tu glisses tes doigts entre de mes cuisses et tu retires ma culotte très, très lentement sans même effleurer ma chatte.
     

    Après m'avoir laissée attendre de longues minutes, tu m'installes à quatre pattes sur le lit, les mains tendues devant, cambrée au maximum. Je ne sais pas ce qui va m'arriver et cette attente est effroyablement excitante. Tu t'approches de moi et très sensuellement tu joues avec ma jupe, tu la soulèves, tu caresses longuement mes jambes, mes chevilles... sans jamais toucher ma chatte. Puis brusquement, tu lèves complètement ma jupe... Je suis délicieusement excitée d'être ainsi exhibée. Tu continues tes caresses puis tu glisses deux doigts dans ma chatte pour juger de mon excitation. Je suis bien mouillée, tu es satisfait. Tu me demandes de me lever et je m'exécute.
     

    Tu approches tes doigts de mes lèvres pour me faire goûter mon excitation. Je n'ai pas très envie, mais j'ai les mains liées et je n'ai pas le choix alors je lèche tes doigts. Ensuite, tu me détaches les mains, tu les serres très fort dans les tiennes et tu me demandes de soulever très lentement ma jupe et de te montrer mon sexe... Je suis là devant toi, la jupe relevée et le sexe offert. Tu te recules pour jouir du spectacle puis tu t'approches pour caresser mes jambes, mes cuisses et effleurer ma chatte.
     

    Maintenant, tu souhaites que je me mette à genoux, je pense que je vais pouvoir te sucer mais non ! Tu me demandes de me caresser, de me fouiller et de goûter mes doigts. L'excitation est à son comble, tu me demandes de me mettre sur le dos et de te montrer comment je me masturbe. J'ai envie de jouir, mais tu me l'interdis sous peine d'une fessée puis tu me fais relever. J'ai toujours mon bandeau et tu es toujours habillé, je l'ai senti en te frôlant.
    Et cela ajoute à ma douce angoisse.

    Tu me demandes de me déshabiller, de me mettre nue devant toi en ne gardant que le bandeau. Tu me laisses ainsi de longues minutes savourant cette excitation. Puis tu m'attaches à nouveau les mains dans le dos cette fois. Je suis totalement à ta merci, livrée à toi et à ta volonté, mon corps offert.
    Tu te délectes du spectacle. Tu te déshabilles, tu t'installes près de moi et commence alors une fessée alternée de caresses dans mon dos, sur ma nuque, mes seins, mon sexe...
     

    Je sens ta queue très dure mais je n'ai pas le droit de la toucher. Cette fessée nous excite terriblement et le jeu reprend à quatre pattes sur le lit. J'ai toujours les mains liées et les yeux bandés. Tu joues avec ton sexe brûlant sur mon visage, tu le promènes sur mes lèvres, sans jamais lui faire pénétrer ma bouche. Pourtant, je tends désespérément mes lèvres pour l'avaler mais tu me dis « pas encore ! »
    Lorsque mes fesses sont bien rouges, tu me retires le bandeau, tu me demandes de m'asseoir au bord du lit, tu joues à nouveau avec ta queue sur mon visage, mais cette fois, tu me permets de te sucer longuement en exigeant que je te regarde.


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  • Au tout début de notre rencontre, j’ai fait part à mon chéri de mon désir de sexualité plurielle. Je portais en moi ce fantasme depuis longtemps. Irréalisable auparavant, je pouvais peut-être enfin y accéder. Être libertin nécessite une communication de qualité, une confiance absolue et une complicité mutuelle. Avec lui, je construisais une véritable harmonie de couple grâce à laquelle libertiner devenait possible.
    Alors que le mot « libertinage » lui était inconnu auparavant, il s’est laissé convaincre progressivement. Timidement, nous nous sommes habitués à l’idée avant de franchir le pas. Nous avons fantasmé des rencontres, espéré une jolie femme qui serait parachutée dans notre lit comme par miracle, imaginé la jolie caissière du supermarché qui sonnait à notre porte…Mais rien ne se produisait, alors nous avons acheté le guide des clubs libertins, nous l’avons lu, feuilleté, dévoré, parcouru, consulté… Mais franchir la porte d’un club nous paraissait insurmontable. Je suis toujours très admirative des couples qui débutent de cette manière ! Quel courage de se lancer un tel défi ! Finalement, un soir de février, nous nous sommes inscrits sur un site libertin. Pas à pas, nous avons construit notre fiche et choisi quelques photos très prudes. Nous avons googlisé à l’infini pour décider la case à cocher : serions-nous côte à côtistes ? Mélangistes ? Echangistes ? Fétichistes ? Quel casse-tête de déterminer ses limites lorsqu’on connait à peine ses envies !
    Notre première idée fut de décider que nous n’embrasserions pas nos partenaires de jeu. Le baiser étant plus sentimental et plus intime, nous souhaitions le réserver à notre couple. Nous avons toujours embrassé finalement !
    Plusieurs années sont passées. Aujourd’hui, nous naviguons gaillardement sur le site. Nos photos sont plus osées, plus alléchantes, plus sensuelles aussi.
    Généralement, c’est moi qui choisis et lance la première conversation puis mon chéri entretient les échanges et organise. C’est aussi à lui qu’incombe la douloureuse tâche de signifier à certains couples que « le charme n’opère pas totalement » ou que « nous n’avons pas de coup de cœur ».
    Les photos de bite ou de vagin béant voire dégoulinant sont rédhibitoires pour moi. Même si j’adore les déguster, le gros plan manque de sensualité. J’ai besoin de rêver, d’espérer découvrir et de mourir d’envie de contempler. J’aime la finesse, je suis infiniment plus réceptive à l'érotisme qui invite à l'éveil des sens qu'au grand déballage instantané. Les hommes en costume me font craquer a contrario ceux qui affichent le bite comme un étendard me laissent perplexe. Mais la bienveillance est d’admettre que chacun est libre de ses choix et place ses limites où il veut.
    J’aime particulièrement la séduction subtile d’une jolie conversation. Celles qui débutent par « Mme est bandante » ou « 22 cm dispo » ne me donnent guère envie de poursuivre. C’est un site de cul certes mais je suis séduite cérébralement en tout premier lieu. J’aime la légèreté, le jeu des mots, du bavardage au badinage, les discussions de haute voltige m’excitent diaboliquement.


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  • Nous voyageons déjà depuis presque heure. Nous sommes alanguis par l'ambiance romantique du compartiment et attendris par le plissage des rideux verts amande. J'ai ma tête sur ton épaule et nous somnolons dans cette douce atmosphère veillotte. Nous regardons sans même les voir défiler les paysages de mon enfance.

    Quand soudain la porte s'ouvre, nos regards surpris se posent sur Lui, il nous salue et déjà sa voix chaude nous enveloppe. Il s'installe en face de nous. Je n'ose relever mes yeux. Je l'observe furtivement. Je sens son regard sur moi à la fois doux et pesant. 

    Je me sers contre comme pour réclamer ta protection mais au lieu de cela tu m’écartes et te penches pour remonter ma jupe. Je ne sens plus l’étoffe rassurante, je perçois son regard de plus en plus insistant. Je suis surprise et mal à l’aise tandis votre attention s’enfonce sur moi. 
    Toi, tu sembles paisible et tranquillement tu écartes mes cuisses pour lui dévoiler mon intimité. 
    Une complicité s’installe en vous, je la perçois dans vos regards. 
    Il allonge ses jambes pour écarter encore davantage les miennes. 
    Je suis stupéfaite par votre connivence. Tu m’attires contre toi pour m’embrasser, il se met à genou devant moi et retire ma culotte. Tu allonges une de mes jambes sur toi et m’offres à sa bouche. Je suis encore la tête enfouie dans ton cou, tu me serres fermement contre toi comme pour m’empêcher de regarder quand je sens sa langue sur ma chatte. 
    Il me lèche si doucement en m’effleurant à peine… Et j’en suis si excitée …
    Je suis bercée par le balancement du train et par la douceur de vos caresses dans un moment de plénitude extraordinaire. Tu recouvres mon visage de baisers tout en caressant mon clitoris tandis que je sens ses doigts qui me pénètrent c’est l’extase. 

    Nous traversons alors un tunnel et l’obscurité intensifie encore mon excitation. Ma respiration s’accélère. Je suis tiraillée entre l’angoisse que quelqu’un nous découvre et l’envie de vous succomber. Je suis encore enfouie contre toi quand soudain tu me repousses, tu dégages ton corps, je te regarde perplexe ouvrir ton pantalon et sortir ton sexe tendu. Je me laisse guider, relever, j’entraperçois dans le miroir mon visage abasourdi et tu me penches vers toi. Ta queue dure et chaude me réconforte car la sentir dans ma bouche me ramène à des sensations familières. Mon soulagement est de courte durée car tu relèves maintenant complètement ma jupe et très vite je sens le sexe de l’inconnu qui me pénètre.

    Je suis ainsi à votre merci, offerte et docile dans un voyage inconnu. 

    Malgré nos aventures, des fantasmes encore à réaliser...


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  •  Même si la finalité est sexuelle, nous sommes à la recherche en priorité de belles rencontres humaines..

    Notre esprit s'éveille avant nos pénis et clitoris. Le charme s'opère au fil d'une conversation agréable, en dégustant des grignotages et en se délectant d'une bonne bouteille.

    Parfois il peut même arriver que je sois séduite uniquement par une personnalité particulièrement touchante et émouvante, le physique ne m'importe plus. Je suis emportée par une âme qui me bouleverse et tous mes critères physiques s'évanouissent.

    Nos soirées ne ressemblent pas (ou rarement...) à des orgies romaines, où des étalons bien membrés et des coquines en chaleur s'adonnent à la baise sans pudeur. Certes, nous baisons mais avec finesse et élégance.


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  •  « L’après  » a, selon moi, la meilleure saveur. Les plus belles soirées peuvent laisser pendant plusieurs jours un effet « petit nuage » tout à fait délicieux. Les heures qui suivent donnent toujours lieu à de vives discussions, ensemble nous décortiquons nos émotions et nos sensations, ensemble nous retraçons la soirée, ensemble, nous la reconstituons comme un puzzle où chacun possède des pièces qui manquent à l’autre.

    Une nuit, au retour d’une soirée, nous roulions en débriefant. Nous nous racontions la soirée avec ses perceptions et mes impressions. Chaque image éveille une excitation différente pour lui ou pour moi. Nous vivons les scènes avec des représentations multiples selon notre position, selon le moment ou selon notre effervescence. Telle une caméra, j’aime profiter du panorama en plan général, j’aime observer mon mari caresser ses partenaires de loin sans participer, j’aime aussi rapprocher mon objectif pour contempler ses doigts qui parcourent les cuisses d’une femme, j’aime enfin zoomer à l’excès et jouir du spectacle de son sexe qui la pénètre. Toutes ces images me font frissonner et j’aime lui décrire les mi miques qui ont parcouru le visage de celle dont il ne voyait que le cul.

    Conversation faisant, la fringale nous assaillit brusquement. Nos estomacs nous rappellent leurs existences. Freinage d’urgence ! Une heure après nous être noyés dans la fornication, nous dévorons un sandwich infâme sur une aire d’autoroute. Ce passage des draps soyeux froissés par nos peaux exquises au parking crasseux encombré de camions c’est étonnamment exaltant parce qu’on est jeudi, il est quatre du matin, nous sommes serrés l’un contre l’autre. Nous regardons béatement le passage des voitures. Remplis d’insouciance, nous prévoyons à peine la douloureuse journée de travail qui s’annonce. On rigole, on s’en moque, on est heureux, on est amoureux !


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  • Wikipédia déclare : un libertin est celui qui s’adonne aux plaisirs charnels (jusque-là rien d’exceptionnel !) voire à la sexualité de groupe (voilà qui devient plus croustillant !) avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle. Bingo ! Voilà la vraie liberté ! Franchir la ligne jaune ! Dépasser les limites, celles de la société bienpensante mais surtout ses limites personnelles, se sentir pousser des ailes, flirter avec la folie, outrepasser les préceptes religieux, faire exploser l’image de la bonne épouse et de la mère parfaite, avoir vingt ans l’espace d’une soirée et être déraisonnable.


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