• Josephine's back.

    Ce soir, mon chéri est dans un bar avec Joséphine. Presque deux ans ont passé depuis notre dernière rencontre, elle nous donnait des nouvelles épisodiquement en nous faisant partager sa vie amoureuse. Le lien s’est amenuisé sans se rompre.  Aujourd’hui, à nouveau seule, elle souhaite retrouver les plaisirs du libertinage. Ce soir, nous avons imaginé pour elle un petit défi. Dans le salon feutré, elle sourit à la demande de mon mari, elle se lève et se dirige calmement vers les toilettes. Quelques minutes plus tard, elle revient à la table, elle sourit malicieusement et dépose près de lui un foulard qui enveloppe sa petite culotte bleue. Elle est toujours joueuse, coquine et audacieuse. Cette soirée se termine sagement mais avec la promesse de retrouvailles.

    La semaine suivante, elle nous invite à nous retrouver tous les trois. Leur petite entrevue a ravivé des souvenirs bouillants et attisé leur désir. Je partage moins leur effusion, pour moi ces réminiscences sont loin mais mon chéri m’entraîne dans son enthousiasme contagieux. Nous portons depuis longtemps le fantasme d’un scénario très candauliste, nous allons le réaliser ce soir. Joséphine est la partenaire parfaite, elle est douce et tendre, je me sens en confiance avec elle, je suis prête à accepter la soumission de mon mari.  

    Dans la chaleur d’un soir d’avril, nous arrivons chez Joséphine. Elle nous attend sur le pas de la porte, encore plus éblouissante que dans mes souvenirs. Elle nous accueille dans son appartement zen et cosy à son image, les couleurs sont tendres, la décoration est légère, la musique est douce. Mon mari lui a donné des consignes vestimentaires, il procède à une inspection et vérifie qu’elle les a respectées scrupuleusement ; elle porte un chemisier blanc sans soutien-gorge, une jupe et une culotte blanche.  Elle s’excuse d’avoir choisi des manches courtes mais il fait si chaud…

    Il est à l’aise dans cet appartement pourtant inconnu, je le vois fureter librement et déménager un fauteuil comme s’il était chez lui, je suis médusée. Elle est divinement belle, gracieuse et charmante avec ses cheveux blonds et sa petite jupe courte. Son sourire timide cache une détermination surprenante. Je me régale les yeux de ses longues jambes. Il débouche une bouteille, elle apporte un délicieux grignotage. Je prends d’office le fauteuil pour les contraindre à partager le canapé comme un préambule à notre scénario. Le chat blanc ronronne près de moi, le jeu de la séduction va commencer, je suis heureuse ! Il la cajole dans ses bras, ils sont beaux. Il écarte délicatement ses cuisses et je vois déjà sa main s’aventurer sous sa jupe, je découvre sa jolie culotte blanche. Il s’approche pour poser un baiser sur ses lèvres, j’imagine leur douceur. Je me délecte de ce spectacle.

    Puis il se lève, m’embrasse tendrement et prend ma main. Il me conduit dans la chambre de Joséphine. Je suis éblouie par la douceur de cette pièce. Il y règne une sensation de bien-être, le lieu est rempli de quiétude, on s’y sent bien. Avant qu’il bande mes yeux, je vois rapidement une guirlande de lumières et les derniers rayons du soleil qui pointent par les volets mi-clos. Il retire ma robe, m’accompagne sur le fauteuil, attache mes chevilles et mes poignets par une fine cordelette. Il caresse amoureusement mon visage puis j’entends ses pas qui s’éloignent et leurs voix au salon. Je suis seule assise dans cette douceur chaleur, fébrile et impatiente.

    Ils entrent dans la chambre, ils me frôlent sans me toucher, je sens des picotements parcourir mon corps. Leur présence est tout près de moi, leurs vêtements tombent au sol, leurs respirations s’accélèrent. J’imagine les doigts intrépides de mon mari qui la caresse, je suis transpirante. Aux bruits, je reconnais ses gestes et ses mouvements, je sais qu’il joue avec la petite culotte blanche de Joséphine, il la descend, puis la remonte. J’imagine qu’elle a coulé sur ses doigts qu’il me fait lécher maintenant. Je me sens bouillir d’écouter leurs gémissements sans pouvoir les voir. Brusquement le fouet claque, j’ai leur cœur battant, elle doit lui présenter sa croupe, la queue de mon mari est surement fièrement redressée, je sais qu’il est aux anges. Il promène ensuite les lanières de cuir sur mon sexe en feu, je me tortille violemment, entravée par les cordes. Il alterne le fouet entre nous deux. Je suis suspendue dans un instant extatique.

    Il délivre mes poignets et prend ma main pour me faire sentir son érection. Il caresse mon visage avec la petite culotte blanche, elle est toute mouillée. Il me dit : je t’aime. Il place les pinces sur mes seins, leur morsure m’arrache un cri de plaisir. Il dévoile mes yeux doucement, je suis éblouie par la lumière d’abord puis par la scène extraordinaire qui est devant moi : elle est retournée, face au mur, son cul merveilleux offert, je suis obligée de me caresser tellement elle est rayonnante et diaboliquement sensuelle. Il replace le bandeau et à nouveau je dois saisir des indices pour deviner le spectacle dont je suis privée. A l’affut de leurs chuchotements et de leurs bruits, je sais maintenant qu’elle le suce sévèrement. Il gémit de plaisir, elle respire vite, je suis incandescente. Les ressentir si près de moi sans pouvoir les toucher c’est une torture merveilleuse. Je me sens mouiller tellement la tension entre eux est forte.

    Les mouvements de l’air m’indiquent, qu’il l’allonge sur le lit, je sais qu’il la lèche j’imagine la bouche de mon mari sur sa chatte, j’imagine cette sensation que je connais bien, je l’éprouve par procuration, je sais de quelle manière il va promener sa langue délicate sur son clitoris. J’ai de la fièvre. Le chat glisse entre mes jambes. Brusquement, elle se jette sur moi, sa bouche tendre s’abat sur mon sexe en feu, je ne peux pas résister, je suis surexcitée, j’explose de jouissance en quelques secondes. Mon mari retire mon bandeau, je retrouve peu à peu mes esprits, il nous présente son sexe tendu, Joséphine et moi nous nous y affairons ensemble en faisant semblant de nous le disputer. Puis ils s’embrassent à pleine bouche, je viens me mêler à eux dans une tendre communion. Elle est d’une beauté féline, je respire le parfum de ses cheveux.

    Maintenant, elle est assise sur sa queue, il caresse son cul m’offrant un magnifique spectacle, elle joue des reins et se cambre pour mieux le sentir, mon regard incandescent les transperce, je frémis d’excitation. Je viens les caresser du bout des doigts sans les déranger. Des flammes nous brûlent, nous explosons dans un chaos de luxure. La vie est merveilleuse.

    « Chasse aux œufs Compersion »

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